HWK : Les Cimetières

Les Tombes & Cimetières français

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  Cimetière A dans le secteur de l'Herrenfluh

 

 

 

 

 

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Cimetière B à proximité du camp Guérin

 

 

 

 

 

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Cimetière C dit de Thomannsplatz ou Camp Turenne au pied du Molkenrain

 

 

 

 

 

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Cimetière F dit du Camp Duché

 

 

 

 

 

 

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Cimetière H des Chasseurs dit de Bonnegoutte

Le cimetière de Bonnegoutte était l'un des cimetières provisoires français qui jalonnaient le champ de bataille du Hartmannswillerkopf sur son versant nord . Si les corps qui y reposaient ont été retirés et regroupés dans les nécropoles des environs après la guerre, il y subsiste aujourd'hui encore la stèle centrale marquant son emplacement passé dans ce vallon.

 

 

 

 

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Cimetière du camp Renié

 

 

 

 

 

 

 

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    Tombes françaises proches du sommet

 

 

 

 

 

 

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Cimetière du camp des Dames

 

 

 

 

 

 

 

 

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  Vue d'une partie du cimetière O dit des Bains Douches

 

 

 

 

 

 

 

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Tombes françaises décorées

 

 

 

 

 

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 Le général DEMETZ, Cdt la 56ème D.I. sur les tombes du cimetière du camp Renié le 11 août 1917

 

 

 

 

 

 

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Cimetière dit de la Victoire au niveau de la courbe 6 de la Voie Serpentine où ont été inhumés les soldats français tombés durant les combats du 22 décembre 1915

 

 

 

 

 

 

A l'HARTMANNSWILLERKOPF. AUX BRAVES DU 334.                                                                                                                                                                             

Au Mont du Vieil Armand, tout à fait à la cime,  Où le sang coule à flots, où la mort est sublime, Des hommes, des Français, vivent dans un enfer, Sous l'affreuse rafale de l'ouragan de fer. Ils sont là, sur le sol, drapés dans leur vaillance, Ces courageux soldats de notre belle France. Sacrifiant leur vie à la face des cieux, Ils tombent avec gloire et le ciel dans les yeux. Quels sont donc ces vaillants que rien ne peut abattre ? Les glorieux poilus du "trois cent trente-quatre", Un régiment d'élite où les chefs, les soldats, Au mépris de la mort affrontent les combats, Où tous sont des héros que pas un ne surpasse : Français ! Le chapeau bas ! C'est la gloire qui passe.

NIVOLEY, père d'un soldat de la 20ème Cie, prisonnier à l'Hartmann

 

 

Les Tombes & Cimetières allemands

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   Le cimetière des Uhlans

 

 

 

 

 

 

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Cimetière du 124ème L.I.R. (Landwehr Infanterie Regiment)

 

 

 

 

 

 

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Autre vue du cimetière du 124ème L.I.R.

 

 

 

 

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 Cimetière des Chasseurs Allemands face à la Plaine d'Alsace

 

 

 

 

 

 

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Autre vue du cimetière des Chasseurs Allemands aménagé en 1915

 

 

 

 

 

 

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Cimetière du L.I.R. 56 avec son portique d'entrée

 

 

 

 

 

 

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 Vue rapprochée de tombes au cimetière du L.I.R. 56

 

 

 

 

 

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Cimetière franco-allemand situé en contrebas de la courbe 7 de la Voie Serpentine

 

 

 

 

 

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Tombes de soldats d'un bataillon de Chasseurs de la Garde décédés le 1er janvier 1916

 

 

 

 

 

 

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Tombes allemandes

 

 

 

 

 

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Cimetière allemand au Westfalendamm

 

Tombes et Cimetières de nos jours

Tombes du cimetière des Uhlans

Le cimetière des Uhlans :

Le cimetière des Uhlans est l'un des lieux de sépultures provisoires aménagés dans la forêt par les Allemands sur le Hartmannswillerkopf. Il rassemble à l'origine les dépouilles de 95 soldats, appartenant en majorité au LIR 56 et au Garde Jäger Bataillon (G.J.B.), tombés pour la plupart au cours des combats du 21 et 22 décembre 1915. Au lendemain de la guerre, les corps ont été regroupés dans les nécropoles allemandes environnantes mais 35 stèles subsistent aujourd'hui encore à cet endroit.

 

Ci-contre : Vue du cimetière des Uhlans et détail d'une stèle de la tombe du soldat allemand Flügel de la 11ème Compagnie du 56ème Landwehr Infanterie Regiment décédé le 15 octobre 1915

 

 

 

Portique Ehrenfriedhof

 

Vue du portique d'entrée de l'Ehrenfriedhof rendant hommage aux soldats des 56ème et 99ème Landwehr Infanterie Regiment tombés lors des combats du 21 au 24 décembre 1915

 

 

 

 

 

 

 

Tombe collective

 

 

 Détail de la tombe rendant hommage aux soldats du 4ème Bataillon du 99ème Landwehr Infanterie Regiment tombés au HWK lors des combats de décembre 1915 (Ehrenfriedhof)

 

 

 

 

 

 

Cimetière du L.I.R. 124

 

 

Sur le versant est de la Montagne, une vue de l'ancien cimetière allemand du 124ème Landwehr Infanterie Regiment. Il comportait à la fin de la 1ère guerre mondiale 275 tombes disséminées sur plusieurs rangées en terrasse. Depuis une allée centrale, on peut rejoindre une stèle surplombant ce cimetière.

 

 

 

 

Les principales nécropoles

La nécropole française du Silberloch :

Dès février 1921, le service des monuments historiques d’Alsace négocie avec le service de l’état-civil le choix du terrain, le plan du cimetière et son aménagement. Situé au pied du Hartmannswillerkopf à une altitude de 906 mètres, sur le territoire de la commune de Wattwiller, le cimetière militaire français a une superficie de 1,67 ha. Il est aménagé sur la pente nord-est du Silberloch, magnifique emplacement, offrant un large panorama sur le champ de bataille et sur la plaine d’Alsace. Il a été érigé dans le prolongement de l'actuel Monument National, sur l'emplacement d'un ancien camp français. Ouvert le 6 septembre 1921, le cimetière est inauguré le 1er octobre 1922 lors d’une fête religieuse et patriotique. Il comprend 1 640 dépouilles de soldats français, réparties en 1 256 tombes individuelles et 384 corps non identifiés en six ossuaires. Construit selon un plan géométrique, les sépultures individuelles se répartissent en quatre sections, les allées dessinant une grande croix latine. Au centre de l’allée axiale flotte le drapeau tricolore.

La nécropole franco-allemande de Guebwiller :

La nécropole nationale de Guebwiller de la Waldmatt rassemble 442 Français et 9 Russes. Aménagée en 1921 et 1924 avec le regroupement de corps des cimetières de communes alentour, elle présente un monument aux morts de 1914-1918. La nécropole est mitoyenne d'un cimetière militaire allemand regroupant 1238 corps, dont 175 de la Seconde Guerre Mondiale. Dès 1928, le Volksbund y réalisa les premiers travaux de réfection.

La nécropole allemande de Cernay :

Le cimetière militaire allemand de Cernay accueille les corps de 7085 Allemands, dont 1422 répartis en deux ossuaires. Il rassemble à la fois les morts des combats du Hartmannswillerkopf et un certain nombre de prisonniers de guerre morts en captivité. Le cimetière a été réaménagé entre 1979 et 1983, avant une nouvelle inauguration en 1984.

La nécropole française de Moosch :

Ce cimetière est créé début 1915 dans un verger, à 8 km à vol d’oiseau du champ de bataille du HWK. Dès le 28 août 1915, il compte déjà 300 tombes. On y inhume sans distinction soldats, infirmières et civils. D’une superficie de 3.096 m², ce cimetière très pentu, domine le village de Moosch. Sa morphologie diffère de celle des cimetières militaires français classiques par son architecture en gradins. Il a été créée à proximité de l'ambulance militaire N°3/58 de Moosch. Selon un axe central nord-sud s’alignent le monument commémoratif aux Chasseurs Alpins orné d’un cor de chasse et d’une palme de bronze encadré d’un buisson d’arbustes, le mât traditionnel et son drapeau. Les sépultures toutes individuelles et identifiées (594), cimetière d’hôpital oblige, se répartissent en trois sections conformes à la pente. Parmi elles, celle du Général Serret identique à toutes, sans signe distinctif. 

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